Car n’est pas seulement une ville, il est une place de l’âme et de la mémoire.
Bien le savait Michael Curtiz, le réalisateur de « Casablanca « , qui avait conservé le nom de Paris pour le dialogue final entre les deux protagonistes du film, Ingrid Bergman et Humphrey Bogart.
" We'll always have Paris "
Dans ce bref échange il y a tout l’esprit évocateur de la Ville Lumière, cinq mots pour définir la destination idéale de toute histoire d’amour.
J’ai rassemblé plusieurs images tournées en situations différentes, tout en sachant que la beauté de la ville n’a pas besoin de grandes capacités de montage pour être exprimée dans toute sa grandeur.
Et alors, on peut bien dire que » nous aurons toujours Paris… «
Game Ovais est un ingénieur travaillant en Grande-Bretagne. Pendant ses études, il a étudié édition vidéo et graphiques 3D et il s’est amusé à monter un court hommage au Cinéma.
C’était le 11 Novembre 1989, lorsque que le film « Nuovo Cinema Paradiso » a été présenté pour la première fois au Festival de Cannes.
Le film de Tornatore a bien fait discuter et a rapidement obtenu les éloges que nous connaissons, comme l’Oscar Award du meilleur film étranger et le Grand Prix Spécial.
Après 25 ans, à l’occasion de la numérisation du film réalisé par l’Istituto Luce Cinecittà et par Dolce & Gabbana ( en collaboration avec la Cinémathèque de Bologne ), le célèbre film revient à l’honneur pour une certaine curiosité que personne jusque-là avait divulgué.
Note: « A Bugs’s Life » n’est pas inclus car c’est un cas particulier. En fait, tout le scénario est un hommage à « Les SeptSamouraïs » de Akiro Kurosawa.
L’œuvre de Mark Osborne, adaptée du conte philosophique de Saint-Exupéry, comptabilise 12,5 millions d’entrées au cinéma. Un record.
Le Petit Prince de Mark Osborne, production majoritairement française inspirée du livre de Saint-Exupéry, est devenu le plus gros succès à l’international pour un film d’animation hexagonal avec 12,5 millions d’entrées, a indiqué ce 3 décembre Unifrance.
Le précédent record était détenu par Arthur et les Minimoys de Luc Besson, qui avait réuni 10,3 millions de spectateurs entre 2006 et 2009, a précisé l’organisme chargé de promouvoir le cinéma français à l’étranger, qui fait des statistiques dans ce domaine depuis 20 ans.
Le Petit Prince, produit par Dimitri Rassam, Aton Soumache et Alexis Vonarb pour la société française On Entertainment, a notamment réalisé près de 5 millions d’entrées en Chine, 2 millions au Brésil, 2 millions au Mexique, et de « très beaux résultats en Pologne ou en Colombie », a détaillé Unifrance.
« Je trouve que c’est révélateur du savoir-faire de producteurs français comme Aton Soumache et Dimitri Rassam, qui ont déjà fait leurs preuves avec des succès comme Le Prénom et Mune« , a déclaré la directrice générale d’Unifrance, Isabelle Giordano. « C’est aussi symbolique du fait qu’on a parmi les meilleurs talents d’animation au monde, à la fois en termes de formation, de sensibilité mais aussi de savoir-faire industriel », a-t-elle ajouté.
Film français le plus cher de l’année
En France, Le Petit Prince a rassemblé 1,8 million de spectateurs depuis sa sortie le 29 juillet. Il est par ailleurs le film français le plus cher de l’année, et a coûté 57 millions d’euros.
Le film, adapté du conte philosophique de Saint-Exupéry, une des oeuvres les plus lues et traduites dans le monde, raconte la rencontre entre une petite fille et un aviateur. Une amitié se noue entre eux et chaque jour, celui-ci lui raconte un nouvel épisode de la vie d’un Petit Prince venu d’une autre planète, qu’il a connu autrefois.